COMMENT LA RABOBANK MANŒUVRE DEPUIS LA HOLLANDE POUR COULER L'ENTREPRISE T.R.C ET CREER LE CHÔMAGE

Au commencement était une puissante entreprise de droit Néerlandais, la REEF GROUP, patronnée par deux enfants de la Famille en l'occurrence Paul REEF et Herbert REEF, qui ont pour partenaire bancaire depuis 80 ans, la ABN-AMRO BANK ! Dans l'expansion de ses activités hors de son siège à GOOR en Hollande, cette entreprise REEF GROUP crée en Afrique et principalement à Douala au Cameroun, une filiale 100% Néerlandaise, la Société TRANSFORMATION REEF CAMEROUN (TRC) dont les activités principales concernent l'exploitation forestière des bois en grumes et débités et la mise sur pieds d'une unité industrielle de transformation de la poudre des déchets de bois en panneaux et carreaux pour plafonds ,planchers et murs de maisons. L'entreprise TRC est très vite certifiée FSC dans la découpe et le reboisement dans ses UFA où elle a créé des écoles et dispensaires dans des villages. À l'apogée de son fonctionnement, TRC paye 1050 employés directs et plusieurs indirects. La société TRC suscite des lors admiration, jusqu'au moment où la RABOBANK entre dans la société mère REEF GROUP.
1-/ La RABOBANK : un loup dans la bergerie REEF GROUP !

Jusque-là connue à l'international dans les sponsorings des courses de vélo à travers l'Europe, la RABOBANK Entschede-Hadksbergen, basée au Royaume de Hollande, contacte en 2007, la société REEF GROUP de Paul et Herbert REEF, pour un partenariat bancaire privilégié. A la suite des négociations, Paul et Herbert REEF abandonnent un partenariat bancaire de 80 ans de succès avec ABN- AMROBANK et jettent leur espoir sur RABOBANK qui pour appâter sa proie, et fier d'être nouvellement admis comme banquier du groupe, met à disposition en 2008, la rondelette somme de 31 millions d'euros pour REEF GROUP et sa filiale Camerounaise TRC qui garantit la facilité financière accordée !
RABOBANK affiche très vite sa réticence, sans raison, à financer la TRC filiale Camerounaise 100% de la société REEF GROUP, garante pourtant de la facilité financière accordée par la RABOBANK, soit 31millions d'euros ! Apparemment, l'argent de la RABOBANK n'est pas destiné au développement des entreprises africaines ! Coincée, REEF GROUP cherche des organismes de financement pour empêcher la faillite financière de TRC, sa filiale sous les tropiques présentant avec un avenir radieux !
2-/ L'intervention d'un Groupe Panafricain d'investissement !
En fin d'année 2008, les Liquidateurs de la Société TRC au Cameroun nous informent que, Paul et Herbert REEF vont approcher avec succès, un Organisme Panafricain d'investissement qui va leur octroyer pour le compte de TRC, une somme de 6millions d'euros pour la modernisation, l'efficacité de l'usine de transformation de bois à Douala. Sauf que l'argent doit transiter par le banquier de REEF GROUP à GOOR au PAYS- BAS, en l'occurrence RABOBANK! Les 6 millions d'euros sont transférés effectivement dans les comptes de RABOBANK depuis Août 2009 !
Cette dernière s'obstine à ne pas transférer le montant reçu dont le but était de moderniser les équipements de l'usine de transformation TRC à Douala! Entre temps l'entreprise suffoque financièrement, contacte des banquiers locaux, dont Afriland First Bank, pour maintenir le fonctionnement en attendant le virement de 6 millions d'euros reçu pour leur compte par RABOBANK !
3-/ Quand la RABOBANK tue la mère (REEF GROUP) et son bébé (TRC) !
Coup de théâtre ! En Décembre 2010, le Conseil de Surveillance de REEF GROUP approuve la scission complète de REEF GROUP en REEF HOUT Pays- Bas et TRC Cameroun. Les conséquences sont néfastes, pire pour TRC et sa maison mère REEF GROUP ! Paul et Herbert REEF perdent 55% d'actions contre un nouveau président du conseil d'administration qui les raflent ! Synonyme de mort de REEF GROUP, l'entreprise- mère de TRC!
Le 14 Mars 2011, le Patron du Conseil de Surveillance refuse publiquement qu'aucun actif ne doit être transféré à TRC Douala au Cameroun! Là le bébé meurt après la mère. En juillet 2011, REEF HOUT est séparée de TRC, créant la faillite de l'entreprise au Cameroun avec toutes les conséquences de droit: chômage pour travailleurs, employeurs, transporteurs etc...
4-/ Afriland First Bank, la banque citoyenne paie le prix des manœuvres de la RABOBANK!

Dans la tentative de sauver le naufrage de l'entreprise TRC, Afriland First Bank, une institution bancaire de droit Camerounais a accordé des facilités financières à TRC garanties par un stock de bois d'une valeur de 1.300.000(un million trois cent mille) Euros, valeur marchande au port d'Amsterdam. Comble de perfidie, la marchandise de TRC a été saisie par en Avril 2012 par RABOBANK qui l'a revendue à 200.000 (deux cent mille) Euros selon elle, à une Nouvelle Société dont ILS SONT LES PROPRIÉTAIRES et non REEF HOUT, anciennement REEF GROUP qui a passé la commande à TRC ! La perte sèche provoquée par cette saisie et cette vente à soi- même est de 1.100.000(un million cent mille) Euros! C'est RABOBANK qui provoque le scission de REEF GROUP à GOOR avec TRC à Douala au Cameroun ! De quel droit RABOBANK saisit et vend le bois de TRC qui n'avait plus juridiquement de rapport avec REEF HOUT ??
CONCLUSION.
La RABOBANK a prémédité, organisé minutieusement et orchestré la faillite de REEF GROUP GOOR et sa filiale Camerounaise TRC ! Le non-paiement des droits sociaux des employés, la sécheresse de son actif et le caractère pharaonique de son passif conduisent à une liquidation de TRC inutile. Pourtant la RABOBANK continue de maintenir dans ses comptes, contre le gré de beaucoup de ses employés réduits au silence, la somme de 6 millions d'euros destinée à TRC pour le financement de ses objectifs. Afriland First Bank, une entité bancaire africaine est aux abois pour avoir accompagné une compagnie en détresse. RABOBANK qui est présente en Zambie et en Tanzanie est- elle une banque de la Mafia?? À qui le tour? Telle sont les questions que les panafricanistes se posent. Nous continuons d'investiguer sur toutes les zones d'ombres et les non-dits de cette rocambolesque affaire de Faillite Préméditée d'une entreprise africaine. Les pays africains où se trouve RABOBANK doivent être informés de la faillite préméditée de TRC au Cameroun par cette Banque de droit Néerlandais.