Non, je ne vous ferrais pas ce plaisir. Cette phrase ressemble étrangement à celle qui pourrait être utilisée pour résumer l’attitude du président Maduro depuis quelques temps au Venezuela. L’homme qui a bien l’intention de résister et de faire face aux multiples tentatives de déstabilisation de l’occident dans son pays, semble ne pas vouloir se laisser faire dans la démonstration de force actuelle, qui l’oppose à l’Europe et aux États-Unis. Mais qui perdra la bataille et qui vaincra la guerre ? Ça on ne le sait pas encore. Sauf que, malgré les multiples soutiens indéfectibles de ces alliés, inconditionnels, comme le président Poutine, ou encore Raoul Castro qui lui a récemment dit, ‘Tu ne seras pas seul’, Nicolas Maduro est victime d’un véritable lynchage médiatique ; le numéro un vénézuélien, tout comme Kadhafi de son temps, fait face à une campagne de dénigrement à haute échelle, de la part des médias qui travaillent pour ses détracteurs. Un journal a d’ailleurs très récemment titré a ce propos, ‘On saura que le Venezuela est devenu une dictature le jour où les médias arrêteront d’en parler’. Mais attention au sage vénézuélien, parce que l’étiquette de dictateur qui lui est collé sur la peau, ressemble étrangement encore, à ce qu’on reprochait à la ‘dictature’ du guide libyen Mouammar Kadhafi. Sur ce, vigilance oblige chers amis Vénézuéliens, sinon, comme les Libyens aujourd’hui, vous n’aurez plus que vos yeux pour pleurer…
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Bien chère Vanessa ! Je viens d'ailleurs de partager ces justes lignes.